À propos

Rejeter les
ultra-performants ?

Les prestations que Syb-R vous propose sont toutes dépourvues de services émanant des GAFAM et de toutes sociétés visant l’ultra-performance. Voici quelques éléments de réflexion.

Techno-féodalisme

La concentration de pouvoir actuelle entre les mains des GAFAM est telle que certains économistes commencent à parler de techno-féodalisme. Autant de pouvoir entre si peu de mains, est-ce vraiment souhaitable ?

Optimisation fiscale extrême

Bien que les revenus dégagés par ces ultra-performants en France et en Europe soient colossaux, de manière générale, ils ne paient presque pas de cotisations, tant leur optimisation fiscale est performante. Il ne faut donc pas compter sur les GAFAM pour construire nos écoles.

Polarisation des idées

La capacité des GAFAM à proposer du contenu ultra-personnalisé est telle que la notion de bulle de filtres a été créée pour décrire, notamment, les phénomènes de perte du libre arbitre chez les internautes. Cette réduction de la diversité informationnelle freine la compréhension globale des enjeux et rend difficile l’ouverture de l’internaute à d’autres perspectives.

Temps de cerveau disponible

Le modèle économique de ces sociétés est centré autour des revenus publicitaires. Leur objectif est donc de maximiser le temps passé sur leurs plateformes afin d’y diffuser le plus grand nombre possible de publicités. L’attention de l’internaute est constamment sollicitée pour lui transmettre une culture de la consommation.

Avenir fluctuant

La performance que propose ces sociétés est à l’exact opposé de la robustesse. Or, dans un monde aux ressources limitées, la robustesse est centrale pour bâtir des systèmes stables, qui résistent aux chocs et aux fluctuations.

Sens

Syb-R voit Internet, avant tout, comme un outil de partage de connaissances, de coopération et d’émancipation des individus. Accessible à toutes et tous, et transparent.

Constat

Lorsque nous parlons de numerique quelques grandes entreprises américaines monopolisent le discours et apparaissent comme incontournables. Au nom de la simplicité, de la soi-disant efficacité et de l’apparente gratuité des outils qu’elles proposent, d’autres alternatives locales ou libres sont complètement ignorées, voire discréditées. Cette gratuité est bien sûr très séduisante, mais la contrepartie est lourde, aucune transparence sur les programmes, aucune transparence sur les algorithmes, une collecte massive de données personnelle à des fins commerciales et une dépendance qui ne cesse d’augmenter.

Rejeter les
ultra-performants ?

Les prestations que Syb-R vous propose sont toutes dépourvues de services émanant des GAFAM et de toutes sociétés visant l’ultra-performance. Voici quelques éléments de réflexion.

Techno-féodalisme

La concentration de pouvoir actuelle entre les mains des GAFAM est telle que certains économistes commencent à parler de techno-féodalisme. Autant de pouvoir entre si peu de mains, est-ce vraiment souhaitable ?

Optimisation fiscale extrême

Bien que les revenus dégagés par ces ultra-performants en France et en Europe soient colossaux, de manière générale, ils ne paient presque pas de cotisations, tant leur optimisation fiscale est performante. Il ne faut donc pas compter sur les GAFAM pour construire nos écoles.

Polarisation des idées

La capacité des GAFAM à proposer du contenu ultra-personnalisé est telle que la notion de bulle de filtres a été créée pour décrire, notamment, les phénomènes de perte du libre arbitre chez les internautes. Cette réduction de la diversité informationnelle freine la compréhension globale des enjeux et rend difficile l’ouverture de l’internaute à d’autres perspectives.

Temps de cerveau disponible

Le modèle économique de ces sociétés est centré autour des revenus publicitaires. Leur objectif est donc de maximiser le temps passé sur leurs plateformes afin d’y diffuser le plus grand nombre possible de publicités. L’attention de l’internaute est constamment sollicitée pour lui transmettre une culture de la consommation.

Avenir fluctuant

La performance que propose ces sociétés est à l’exact opposé de la robustesse. Or, dans un monde aux ressources limitées, la robustesse est centrale pour bâtir des systèmes stables, qui résistent aux chocs et aux fluctuations.

Prudence

Les services présentés comme « gratuits » par les GAFAM sont omniprésents dans le paysage numérique. Bien que les sites Syb-R soient conçus pour en être dépourvus, il est compliqué pour Syb-R de le garantir, notamment du fait de la constante évolution de ces services et de leur forte intrication à notre écosystème numérique.

Un site Syb-R, ça pollue !

Comme tous les autres sites web, les sites Syb-R sont hébergés sur de gigantesques ordinateurs regroupés dans des centres de données, qui, même s’ils sont localisés au plus près de nous et alimenté par une électricité bas carbone (o2switch – France), restent de véritables concentrés de matières premières : métaux précieux, terres rares, métalloïdes… Tous ces éléments ont dû être extraits, raffinés et acheminés jusqu’à nous, essentiellement grâce au pétrole.

Créer un site web a donc un coût écologique, quoi qu’on en dise !
À nous d’essayer d’en faire un usage responsable.

Sobriété

L’efficacité nous apportant dans tous nos systèmes sensiblement que des effets rebonds, il nous est essentiel pour réduire leurs coût écologique de se focaliser sur la sobriété. Tout au long du processus de création de votre site, Syb-R vous orientera vers des solutions sobres afin de réduire ces coût écologique.

Souplesse

Se sevrer des ultra-performants est un processus long qui doit être progressif pour assurer une transition efficace et durable vers des pratiques plus émancipatrice. Parfois, vos projets ne sont pas encore complètement soutenables sans l’utilisation de certains services des GAFAM, dans ce cas, des liens vers ces plateformes peuvent être créés. Toutefois, en aucun cas des outils provenant des GAFAM ne seront installés volontairement sur un site Syb-R.

Liberté

Choisir un site Syb-R c’est choisir, la sobriété dans un contexte d’abondance, la robustesse des biens communs dans un contexte de privatisation et la localité dans un contexte mondialisé, dans le but de s’émanciper.